<< Escarmouche >>

La nuit a été courte. J'ai bien tenter de dormir, au moins une heure, mais au diable le sommeil, je dormirais après ma mort. Si je meurs un jour, mais d'après mon frère, on doit tous y passer. Alors après m'être fait une beauté, j'ai passer quelques coup de fils pour savoir où se trouvait les meilleurs soirée du campus. J'entends par là, les plus peuplé de gente féminine, et j'ai passer la nuit avec quelques 'une d'entre elles. Combien? Je ne sais pas trop, pour être honnête, je n'ai pas compté. Mais une bataille se dessine à l'horizon et j'aime profiter à la veille de ce genre d'évènement. Au matin, je suis debout avant le lever du soleil, une douche et j'envoie le message de reliment aux hommes que j'ai sélectionné la veille.

Arrivé au lieu de rendez-vous, mon frère est déjà présent. Je le salut comme il se doit. J'ai penser à mettre Izia à la ceinture, et à porter ma tenue de guerre. Une armure faite de cuire et de maille, un Jormungand sur la poitrine, serpent de la fin des temps. Mon regard reflète mon impatiente et ma soif de combattre, ce que mon frère remarque sans grosse difficulté. Mais mes hommes ont la même hargne. A ses mots, je lui dirais bien que les siens manques à l'appel, mais c'est là l'erreur, ils non juste pas encore été appeler. Nous le suivons alors sur une colline, enfin colline, plutôt une monté au milieu de bâtiment plus délabré les uns que les autres. Les étendus verdoyante me manque, ça avait quelques chose de plus épique que de se cacher derrière de vieille poubelles entre d'anciennes usine qui puent les produit chimiques. Mais quant je vois nos ennemies, mes ressentis changent, l'appel de la guerre résonne de plus belle en moi.

"Qu'attendons-nous mon frère?"

<< Escarmouche >>

Je suis mon frère, impatient, caressant Izia comme on caresserais un chien de guerre. Je me demande déjà quel apparence d'arme je vais lui faire prendre, une hache? Une épée? Une lance? Ou un simple bouclier tranchant? Peut importe temps que le sang la nourrie. Mes hommes ne parlent pas, ils sont concentrés, mais je ne ressent aucune peur en eux, plus une forme d'excitation silencieuse. Quant Nesko me donne le feu vert, je sors Izia de sa garde et la brandit haut au-dessus de ma tête. Je la sent vibrer dans ma mains. Oui ma chère, je sais, toi aussi, ça faisait trop longtemps. Durant quelques seconde plus un bruit ne se fait entendre, mes les oiseaux et les insectes on cesser de respirer. En temps normal, j'aurais blablater quelques mots à mes hommes, quelques encouragement, mais leurs regard luisant de mort pour certain, et de détermination pour les autres, me laisse à penser que ça ne servirait à rien. Je me place alors en tête de marche et abaisse mon arme dans un cri de guerre qui fait trembler la terre. A moins que ce ne soit nos pas courant vers l'ennemie qui fassent vibrer le sol. A notre charge, nos ennemies semblent étonné et mettent quelques seconde à réagir face à ce qu'il se passe. Ce monde est le miens bande de crétin dans cervelle, pour l'avoir, vous devrez me tuer. Nous fondons sur eux comme un tsunami détruisant une ville côtière. Mon arme vole, virevolte, coupe, tranche. Elle change d'apparence comme si c'était tout à fait naturel. Je n'ai aucune pitié pour mes adversaires, si ont peut les nommer ainsi. Alors que certains de mes hommes semblent mettre plus de temps que d'autre à tuer leurs ennemies, je n'ai l'impression de faire face à aucune résistance de mon côté. Je me met à hurler de plus bel, entendant les miens répondre par un même hurlement. Certains de ceux qui nous font face préfère fuir le combat, d'autre implore notre pitié sous les regards dédaigneux de leurs alliées qui continue de combattre sans prendre réellement conscience de notre supériorité.

"C'est tous?!"

L'armée des cavaliers n'a donc que ça à donner. Guerre est parmi nous, et pourtant, aucun d'entre eux ne semble avoir une quelconque coordination. C'est pitoyable. Ce cavalier ne mérite pas son nom de cavalier de la guerre. Il mériterais qu'on l'appel celui des perdant.

<< Escarmouche >>

Alors que j'en finis avec mon dernier ennemie de la première vague, une seconde arrive? Mon corps absorbe le sang qui collait à la peau, faisant de moi un guerrier tous beau tout neuf, mais le chargeant d'avantage de puissance destructrice. Ceux que je vois arriver me donne des frissons de satisfaction. Ils sont ranger comme de bon petits soldat, leur marche est rythmé par celle de leurs voisins, je distingue tout de suite les divers rangs, l'artillerie, l'archerie et j'en passe. Je ressens enfin la guerre raisonné dans mes veines là où uniquement l'appel de la mort et du sang était présent auparavant. La première vague n'était que la chaire à canon pour évaluer nos forces. Je suis sur que le cavalier n'est pas loin, ou alors, il voit à travers les yeux de ses hommes, ils doit nous juger, nous évaluer. C'est une chose qui me fait penser à ces généraux d'armée occidentale, ceux qui restaient en retrait lors des guerre, bien en sécurité dans leurs tente alors que leurs messager faisaient les allez retour entre le centre de commandement et le champs de bataille, c'est d'une lâcheté. J'ai une grimace d'agacement et la haine se reflète dans mes yeux à l'idée de la lâcheté de ces choses. Un cavalier devrait être en ligne avec les autres.

"C'est vraie mon frère, je devrais peut-être..."

Alors que je laisses mes ennemies charger les premiers, la tête haute devant tous ces "hommes" venue donner leurs vie pour un maitre qui les dédaignes, toutes les effluves de sang diverge vers moi. Celui des morts tournoie autour de moi comme de multiple lame virevoltant dans le vent. Je connais mes hommes, je sais les plus forts, et les plus faible, j'envoie le sang aider ces derniers, leurs servant de bouclier sans entraver leurs mouvements. Pendant ce temps je fond dans la bataille, tranchant à tour de bras, évitant certain coup qui pourraient tuer toutes autres créatures de ce monde. J'attrape alors un des démons, celui avec des galons sur l'épaule.

"Va dire à ton maître que toutes les armées de la terre ne viendront jamais à bout de nous, il en faut plus pour détruire des dieux."

Et pour appuyer mes dires, j'utilise alors mon pouvoir pour tuer d'un seul coup pas moins d'une trentaine de leurs soldats qui fondait sur mes hommes. Je relâche ensuite le grader qui ne bouge pas, mais continue d'attaquer. Il m'agace, ils m'agacent tous. Aucun respect pour combattre ainsi.

"JE SUIS LE DIEU DE LA GUERRE! LE SEUL! L'UNIQUE! MONTRE TOI CAVALIER DE PACOTILLE! A MOINS QUE TU VEUILLE LA DESTRUCTION PUR ET SIMPLE DE TON ARMEE!!"

Je commence à perdre sévèrement patience. S'il pense que ses hommes pourront donner le change plus de cinq minute, il se trompe fortement. Une déferlante de griffe de sang fond alors sur eux, je n'ai pas envie de perdre mon temps avec de simple larbin, ils ne vaut pas la peine.

<< Escarmouche >>

Ha! Enfin! Il est là. Enfin, non, elle est là. D'ailleurs ça me perturbe un instant. Guerre n'est qu'un enfant. Mince, élancée, presque trop belle pour avoir connue temps de mort, à moins que se soit justement ça qui la rende si attirante à mes yeux. Mais peut importe son charisme car je sens l'appel de la guerre à travers tout mon être. Un sourire se dessine sans que je n'y puisse rien sur mon visage. Et j'avance vers elle sans réellement le vouloir, ou le prévoir. Mon sang recherche le siens, son contacte, sa souffrance, sa mort, sa puissance.

En avançant des effluves de sang jaillisse de partout tuant tout les ennemies autour de moi, qu'ils soient de l'armée de la guerre ou de mon frère, allez savoir pourquoi ils se sont tous retourner contre nous. Et ce n'est que guerre, pas la mort qui nous fait face. J'en vient à me demander ce que ce dernier ferais de ses être non vivant non mort. Mais le sang se lève du sol pour trancher, démembré, couper les tête et arracher les cœurs de tous ceux qui osent m'attaquer sans que je n'ai rien à faire, comme s'il avait son propre désir de me voir vivre et survivre. En plus de ça, avec tout le sang qui a fouler ce sol, je n'ai pas besoin d'utiliser le miens, ce qui n'est pas plus mal en vu des quantité utiliser. Je ne suis pas un réservoir sans fond non plus.

Je travers une foule dense, de créatures en tous genre, me dirigeant vers mon ennemie, je sais que mon frère en fait de même. On ne devait pas le, enfin la tuer, mais je le sent aussi fébrile que moi. Je tue la guerre et li la fauche, on en sort tout les deux gagnant. Après de longue minutes de marche rapide, comme une éternité, on arrive enfin à la hauteur du cavalier. Enfin, de là où il était.

"Il est où?"

Je me tourne vers mon frère qui m'a déjà rejoint et nous recherchons notre proie du regard, en vain. Nesko semble avoir reprit possession de ses non mort, et plus aucun ennemie n'est présent comme s'ils c'étaient tous volatilisés. Je commence à regarder frénétiquement autour de nous et sent une rage intense monter en moi. Quelques chose de virulent, de profond, de viscérale. Ma voix est douce, calme, basse et grave.

"Non, non, non, non, non."

Pour finalement éclater en un nom d'une violence telle une tempête qui déchire le ciel de tous New-York. Tout le sang accumuler monte vers ce dernier et remplit les nuages d'une teinte rouge.

"ARRRRGGGGGG! NOOOOOOONNNN!"

Je hurle à plein poumon durant de longue minutes, une éternité pour certains de nos hommes qui nous regarde, puis un éclaire rouge travers le ciel comme si Thors lui même m'entendais et les goute de sang en tombe dans un déluge d'orage. Je me retrouve vite à genoux de colère, de rage et de frustration.

"Je jure sur mon honneur que je l'aurais, tu m'entends Nesko, cette pute est à moi!"