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Forum RPG multi-vers tournant autour de la série Buffy The Vampires Slayer et Angel, se déroulant sur New York après la dernière saison d'Angel et acceptant d'autre univers (voir contexte). L'action se déroule en 2021.
Carte d'identité Race: Tueuse Dc/Tc: Spike/Adria/Andreas/Dakota Pouvoirs/Capacités:
Viens pas me les briser, ou je te brise!
Date de naissance : 01/01/1989 Date d'inscription : 01/12/2023 Emploi/loisirs : Agent de sécurité privée
Sam 10 Fév - 12:24
ft. Solo
Nouvelle destination, nouveau départ.
San Francisco
C'est hors de question
Réfléchis-y avant de te braquer. Ils auront forcément besoin de quelqu'un comme toi.
La nuit était déjà bien avancée dans le cœur de San Francisco. Et, malgré les informations obtenues plus tôt dans la soirée, aucune créature démoniaque ne semblaient avoir investis le port. Les seuls bruits encore audible à cette heure tardive étaient les clapotis régulés des goûtes d'eaux s'écrasant au sol, les grincements métallique des conteneurs chahutés par le vent, ou encore le bruit de pas de nos deux acolytes, toujours en pleine discussion.
Non c'est non. Il en envoie déjà une bonne dizaine, dont Rony et Vi, qui sont suffisamment expérimentées, et qui ont à elles deux assez de connaissances pour rendre le vieux Giles fière comme un Margol en chaleur. Et puis, la prophétie est très claire, seul Faith et Wilson peuvent arrêter ça. En plus, j'aime pas New-York. Il y a trop de New-yorkais et pas assez de soleil. Et puis je n'ai aucune envie, de revoir l’empathique Dakota Wilson avec son air de premier de la classe coincé.
Mac ne se braquât pas aux mots de son amie, mais il ne put s'empêcher de sourire en imaginant Giles en espèce de gros nounours au pelage vert faisant une danse des plus grotesque afin de séduire n'importe quelle femelle en mal d'amour. Puis, comme pour s 'assurer une énième fois que la mauvaise fois de Morrigann n'était pas un mythe, il tendit la main, récupérant quelques goûtes de pluie. L'orage qui grondait avait au moins comme point positif celui d'atténuer chaque bruits qu'ils pouvaient faire. Même si, à contrario, l’humidité amplifiait leur odeur corporel. Mac se demandait cependant, si les odeurs de Vodka et de Cannabis qu'ils arboraient tous deux pourrait devenir un bon répulsif à vampires.
Ce n'est pas parce que tu ne figure pas dans cette prophétie que tu ne peut pas être utiles. N'oublie pas, une seule et unique tueuse, à elle seule elle devra blablabla... C'était une prophétie ça aussi. Et pourtant, vous êtes bien plus qu'une seule maintenant.
Les tueuse marchait en tête, sa silhouette était élancée et athlétique, sa peau cuivrée s'harmonisait parfaitement avec la noirceur de le nuit qui les enveloppait. Elle balançait une énième fois son poignard d'une main à l'autre avant de s'arrêter pour faire face à Mac. Son ton ne changea pas, elle de ressentait aucune colère, si ce n'était qu'une pointe d'agacement.
Je sais très bien que je suis utiles, je le suis toujours. Je suis intelligente, réactive, inventive, surdouée en déduction et en analyse, une véritable bibliothèque occulte à moi seule, une tueuse d’exception qui en plus de ça à la chance d'être super sexy. Alors dire que je puisse être utile est un euphémisme, ils auraient plutôt une chance folle de m'avoir. Mais de une, ils ne sauraient pas la saisir, et de deux, ils y arriveront également sans moi. Ils mettront juste quelques mois de plus à tout arrêter. Si ce n'est plus.
Et modeste avec ça...
Tu dis ?
Vampires … Derrière toi.
Mac la prévint de la présence du suceur de sang tout en buvant une gorgé de Vodka. Sa voix n'avait pas changée. Son ton était le même que s'il lui avait demandé de lui passer le sel au restaurant.
Je sais très bien ce que tu penses.
N'en sois pas si sur tueuse.
Pas toi idiot...
Alors qu'elle commença à danser avec le vampires, Morrigann continua sa conversation avec Mac, exaspérer par les tentatives minables du monstres pour la toucher et obtenir toute son attention.
Tu ne comprend pas pourquoi je ne me sent pas plus impliquée dans ce combat.
En effet … C'est pas très respectueux. Je pourrais te tuer.
Hein ?
Quoi ? Mais tu vas la fermer Narcisse ! Tu ne vois pas qu'on parle entre adulte ?
Son pied atterrit dans le visage du vampires qui s’écrasât quelques mettre plus loin.
Tu devrais y réfléchir encore un peu.
Ça dur depuis trop longtemps.
Déjà fatiguée tueuse ? On vient de commencer.
Sérieusement ?! T'es con ou t'en fais exprès ?! Ferme ! Ta ! Gueule !
Soulignant chaque mot par un coup plus puissant que le précédant, elle fit reculer le vampire au fond d'un conteneur vide.
C'est tous réfléchis Mac. Et c'est toujours non.
Ok, t'as gagné, mais c'est quant même dommage.
Mac se posa sur un baril, se roulant un joint un air de « je sais quelques chose que tu ne sais pas » inscrit sur son visage qui fit mouche du premier coup.
Quoi encore ! Dis moi !
Bas, si ce n'est le fait que t'aurais enfin pus rencontrer Spike. Il y aussi cette rumeur... Celle qui dit que Faith ne serait plus immortelle. Je veux dire par là que lors d'un apocalypse, c'est inévitable, des gens meurt. Et souvent des tueuses. C'était peut-être ta dernière chance de les rencontrer et même de te battre à leurs côté... Mais t'as pris ta décision...
Il alluma son joint et en tira quelques latte, satisfait de son intervention en voyant la tête de Morrigann.
Arg...
Dans un bruit sourd, la vampire disparu en poussière et Morrigann sortie du conteneurs tout en piquant le joint de Mac. D'un pas décidé, elle prit la direction du centre ville et quitta le port.
C'est ce que je me tue à te dire depuis une semaine. Je dois mettre le manoir familiale en vente et trouver quelques chose sur New-York. Tu devrais le savoir quant même, sans moi, ils vont tous y rester. Et j'attends toujours que tu contacte les agences immobilières. Il faut toujours tous faire sois même, c'est fou.
Ouais... T'as vue ça, c'est un truc de malade...
Avec un rictus satisfait, Mac referma les portes du conteneurs avant d’emboîter le pas à Morrigann, direction, la maison.
Morrigann Travers
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Lun 12 Fév - 20:39
ft. Solo
Nouvelle destination, nouveau départ.
Départ pour New-York
Et celui-là ? T'en fais quoi ?
Poubelle.
Mac regarda l’œuvre avec un air effaré avant de la retourner vers Morrigann.
Mais... C'est un Monet !
Et alors ?
Elle regarda Mac sans comprendre réellement l'importance qu'il pouvait bien donner à cette toile de maître. "La promenade" avait beau être une des œuvres les plus connue de Monet, elle ne faisaient pas écho dans le cœur de Morrigann. Elle se souvint en avoir fait l’acquisition alors qu'elle travaillait, honnêtement pour une fois, sur une histoire de tableau volé à la galerie national de l'art de Washington. Elle avait réussis à leurs démontrer avec brio, à quel point il était facile de créer un faut grâce à la magie et beaucoup de talent. Et la preuve était là, sous ses yeux. Elle avait l'original alors que eux n'en avait qu'une copie.
Tu devrais peut-être le rendre au musée... Ils devraient être content de le récupérer. Les autres aussi d'ailleurs... Sauf celui-là.
Elle décrochât un Dali du mur et le posa lourdement sur une pile de carton. « Gradiva » était une œuvre qui lui parlait tout particulièrement. Cette femme, meurtrie, éventré, souffrant d'un mal intérieur, c'était quelques choses qui raisonnait en elle également. Ce tableau représentait toute la souffrance qui se trouvaient à l'intérieur d'elle, sans n'avoir jamais réussis à mettre de mots dessus.
Les cartons remplissait le rez-de-chaussée du manoir depuis la veille. La plus grande pièce hébergeait tous ce que Morrigann concernait comme inutile. Des meubles pour la plus part, mais aussi des livres qu'elle connaissait par cœur pour les avoirs déjà lut, des œuvres à réexpédier à leurs véritable propriétaires, ou encore des bibelots et ustensiles de cuisine. Seuls la demi-douzaine de cartons qui ornaient l'entrée les suivraient à New-York. Ils contenaient majoritairement des armes, vêtements, instruments de musique, ainsi que quelques journaux d'observateurs. Ceux de ses parents décédés et des observateurs qui l'avaient séquestré ici-même.
Ils sont en retard..
D'une minutes à peine, laisse leurs le temps
La jeune femme soupirait tout en faisant des aller retour entre la coure et le salon. Jetant toutes les deux secondes un coup d’œil pressé à sa montre, ou dans l'allée centrale. Lorsque le camion arriva, elle se posa sur le muret en haut des marches, attendant impatiemment que le personnel gare le véhicule et en descende. Elle ne leurs laissât pas le temps d’ouvrir l'arrière du camion qu'elle sautât sur ses jambes déjà engourdit par l'inactivité.
Tous ce qui est dans la manoirs est à jeter, sauf ceux-là, on embarque.
Ou à donner, à jeter, ou à donner.
Morrigann répondit uniquement par un « ouais, ouais » blasé tout en commencent à remplir leurs propre mini van de cartons. Les déménageurs s'occupaient des cartons qui resterais sur San Francisco, ils était missionné pour en donner certain, rendre les tableaux d'art et jeter le reste. Quant aux autres, la van était assez grand pour qu'ils n'est pas besoin de professionnel. Morrigann avait hâte de quitter ce manoir. Elle devait encore finaliser sa vente auprès de l'agence puis, direction New-York. Ils en avaient pour une journée et demi de route, mais à deux conducteurs, ils n'auraient pas besoin de faire de pause pour dormir. Ils devraient arrivé là-bas dans les temps pour rencontrer ce Steeve, un agent immobilier en vue et qui aurait le dont de trouver toute sorte de logement insolite. Tous ce que voulait Morrigann. Elle avait déjà trouver quelques perles rare qu'elle n'avait plus qu'à visiter.
Morrigann Travers
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Mer 14 Fév - 12:03
ft. Solo
Nouvelle destination, nouveau départ.
Arrivé sur New-York
Non ... Non ... Non plus ... Et on dit que c'est le meilleur agent immobilier de New-York. Vraiment?
Mac déposait chaque dossier rejeté par Morrigann sur un pile qui commençait sérieusement à menacer de s'effondrer. La veille ils avaient passé la journée à visiter des quartiers de New-York ainsi que des habitations, mais rien ne semblait correspondre aux critères de la tueuse. Ce qui avait le dont de blaser plus qu'à son habitude Mac.
Tu peux pas revoir tes critères à la baisse? La maison de Staten Island était très bien. Celle de Brooklyn aussi d'ailleurs.
Non.
Elle jeta un énième dossier devant Mac, rejeté, comme les autres.
La première était trop excentrer. Staten Island est une iles bourgeoise. Même si on peut y trouver des démons, ce n'est pas là qu'ils vont être le plus concentré. En plus de ça, il y a des chances que le premier voisin à la ronde se plaigne au moins bruit, si la couleur des fleurs ne sont pas assortie aux sienne et si la pelouse n'est pas tondue tout les mois. Alors imagine s'il nous vois rentrer blesser ou couvert de sang. En plus l'homme qui vivait dans la bâtisse derrière chez nous travaillait pour le mafia et on aurait vu débarquer les autorité pour meurtre dans le mois car sa femme le trompe.
Les yeux écarquiller de Mac lui fit lever les sien aux ciel avant de développer.
T'as déjà vu une femme riche accompagner son jardinier à sa camionnette après le travail? De plus elle était très bien maquiller, en revanche, sa coiffure laissait fortement à désirer et quelques marque d'herbe fraichement coupées on tacher le haut qu'elle portait, à l'envers d'ailleurs. Quant à son mari, en rentrant il n'a pas prit le temps de rentrer dans la maison comme il doit surement le faire tout les jours pour déposer sa mallette de travaille et retirer cette cravate qu'il exècre temps. Il a tout de suite fait le tour de la maison. Il cherchait le jardinier, mais à défaut il va trouver sa femme , une senne de ménage va éclaté, et vu qu'il a but plus de raison en vu de sa démarche, il y a de forte probabilité qu'il la tue dans la soirée. Mais faisant partie de la mafia, son corps ne sera surement retrouver que plu tars, surement échoué sur une plage. Son visage n'a pas fait le tour des média ses dix dernière années, donc ce n'est pas un haut grader. Il l'est suffisamment pour faire appel aux nettoyeur ceci dit, mais pas assez pour qu'ils se fatigue à faire le travail correctement, alors il vont surement lester quelques sac rapidement et la jeter dans l'Hudson River, lien qui vont se défaire et donc la faire resurgir à Manhattan. Et vu que c'est une mannequin de renom qui a déjà fait le buzz à cause des bleus qui décore sont corps de temps en temps, les autorité ne vont pas mettre de temps à remonter au mari violent et jaloux. Je lui donne deux semaines de liberté. .
Mac avait l'habitude que son amie résoude des enquêtes qui n'avait pas encore lieu d'exister, mais il en était toujours surprit. Il trouvait ça, fascinant.
Et pour Brooklyn?
Je n'aimait pas le devanture ... .
Un sourire se dessina sur le visage des deux amis. Puis ils se replongèrent dans les dossiers proposer. Tous ceux que Morrigann avaient présélectionné avait mené à une impasse. Trop petit, trop grand, trop de travaux, pas assez, pas assez de terrain, pas assez protéger naturellement, trop de terrain... Les raison étaient multiples. Finalement elle se levât, trois dossier à la mains. Elle sortie du petit bureau d'accueil où ils se trouvaient et entrât dans celui de Steeve sans frapper. Ce dernier était en pleine entretient avec une cliente qu'elle ne calcula même pas.
Je veux visiter ses trois là.
Ho? Hem? Oui, bien-sur. Excusez-moi.
Le petit homme se leva et sortie de son bureau, raccompagnant Morrigann vers la pièce où elle était juste avant. Il lui fit signe de s'asseoir mais elle enfilat déjà sa veste.
Maintenant? Je ... J'ai une cliente ... Je peux vous propos ...
Maintenant. Tenez, rejoignez-nous à la première adresse dès que vous serez libre.
Mais je dois prévenir les propriétaires!
Pas la peine, on s'arrangera. A tous à l'heure.
Morrigann laissât Steeve planté au milieu du couloir, les trois dossiers dans les bras et la mine dépité. Décidément, les nouveaux New-Yorkais étaient très étrange selon lui.
Morrigann Travers
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Dim 18 Fév - 13:28
ft. Solo
Nouvelle destination, nouveau départ.
On emménage
C'est un désastre.
Mais non, pas temps que ça. Disons qu'il faudra juste quelques travaux de rafraichissement.
Morrigann donna un coup dans un mur qui s'effondras aussi rapidement qu'un château de sable.
Des termites ... Vraiment Mac? Franchement, on était bien partie avec l'agence, au moins ça aurait été habitable de suite. Quelle mouche t'as piquer de signer à ma place.
Tu tournais en rond, et dormir dans les hôtels... il y a du potentiel ici regarde et tous ce que tu cherches. C'est un bâtiment des années 20, il a été construit en pleine prohibition. J'ai retrouvé les plans, regarde ça, il y a des passages secret partout que l'on peut remettre à neuf, on a des accès directe au égouts, et des planques bien placé. Aller, fais pas ta mauvaise tête. Et puis si vraiment t'en veux pas, c'est qu'une proposition d'achat, tu peux encore te désister. Mais visite au moins. S'il te plaie.
Morrigann soupira brillamment avant de tousser à cause de l'accumulation de poussière. Puis, essayant de prendre sur elle un maximum, elle commençât à marcher dans l'immeuble.
Il faudra que l'on fasse appel à un exterminateur, que l'on voit pour faire aussi un état des lieu avec un professionnel, mais la structure à l'air assez bonne, les termites semble s'en être prisent qu'aux cloisons, que j'aurais fait tomber de toute façon. Il faudra quant même voir pour l'escalier qui semble branlant, mais on peut le changer pour un en pierre, plus solide. Le rez-de-chaussée est assez spacieux, on pourraient mettre le bureau par ici, l'accueil là, et une salle de pause ici. On réserverais le premier pour nous. Mouais... on peut peut-être faire une proposition solide. Mais pas à ce prix. Il y a trop de travaux. Et il faut faire une demande de locale professionnel.
Mac se surpris dans un élan de joie et prit Morrigann dans ses bras, qui se crispât aussitôt. Mais sans le rejeter pour autant, c'était peut-être le seul qui pouvait, de temps en temps, se permettre ce genre de démonstration envers elle.
N'en fait pas trop tu veux bien. Je peux encore changer d'avis sinon. .
Il se reculât aussitôt, un sourire tonitruant sur le visage et attrapa son portable aussi vite.
Je préviens Steeve et lui demande de faire le nécessaire... On a enfin notre chez nous!
Ouais, ouais... .
Mine de rien, dans le dos de Mac, le sourire de Morrigann était sincère. Finalement, son ami la connaissait bien. Elle détestait le neuf, elle adorait le cabosser, comme elle. Et surtout, le secret, et ce lieu en regorgeait. Elle attendit qu'il soit sortie téléphoner à Steeve avant de s'asseoir sur le sol poussiéreux de la bâtisse.
Parfait.
Morrigann Travers
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Mer 21 Fév - 17:08
ft. Solo
Nouvelle destination, nouveau départ.
L'autre facette.
Viens là espèce de raclure !
Les bruits rapides de talons de la tueuse résonnait dans la ruelle qu'elle empruntait. La nuit était tombé depuis plusieurs heures, mais elle n'avait pas prévue de se rendre dans cette partie de New-York aujourd'hui. Mac et elle avaient trouver un contrat d'agent de sécurité pour un parking sous-terrain de Brooklyn, mais finalement elle se retrouvait à Manhattan. Non pas qu'elle se soit trompée de lieu, mais la vision d'un démon démembrant une jeune femme caché derrière une camionnette à son lieu de travail lui avait value une premier combat, très vite écourté, puis une traque.
Tu comptes courir encore longtemps comme ça?
Elle leva les yeux aux ciel quant la créature arriva d'un bond au sommet d'un immeuble de trois étage.
A non, ça c'est de la triche! Jamais il se fatigue celui-la?.
Elle continuât de le suivre sur quelques mettre tous en observant autour d'elle. Elle trouvât alors le moyen de monter au sommet des bâtiments à sont tour sans risquer de se briser la nuque en foirant un saut. Mais arrivé au sommet, plus personne, plus de démon. Elle prit le temps de reprendre son souffle, tout en observant les alentours. Au premiers regard, on ne voyait que des toits à perte de vu, mais avec plus d'expérience, Morrigann repérât un passage entre deux immeuble, comme un trou permettant d'aller d'un immeuble à l'autre. Elle s'y faufilât, heureusement pour elle, elle n'était pas épaisse. Elle se serait bien demander comment un démon de la carrure de celui qu'elle pourchassait pouvait bien passer dans une telle ouverture, mais elle connaissait cette race. Ils avaient la faculté de modifier leurs masses, une endurance exceptionnelle, et surtout, ils vivaient en meute et se nourrissaient des embryons de leurs victimes. En gros, la femme que ce dernier venait de tuer était enceinte de moins de 6 mois. Ce qui avait tendance à mettre Morrigann dans une certaine rage. Mais au moins, elle avait trouvé leurs repères à priori. Ou plutôt, il lui avait apporté sur un plateau. Dommage qu'elle n'est pas prévue une telle traque, et donc n'avait pas un arsenal plus conséquent. Mais c'était aussi ça être une tueuse, faire face aux imprévues.
Elle marchât alors parmi les restes qu'ils avaient semblablement laisser sur le sol.
Répugnant ... .
Elle secouât le pied pour en détacher un morceau de peau qui s'y était attaché quant un grognement activât son instinct de tueuse déjà en éveille. De peut elle évitât un coup de griffe qui lui aurait fait une belle entaille, étalant ses entrailles sur le sol. Mais sa chemise de travaille n'eue pas la même chance, et elle soupira en constatant les dégâts.
Comment tu veux que j'explique ça à mon employeur?
Un par un, les démons sortirent de leurs trous et la tueuse en contât cinq. Quatre mal et une femelle, plus grande, plus rapide, plus dangereuse. Clairement, c'est elle qui portait la culotte ici, un cri de sa part et les quatre bonhommes la chargèrent. Le lieu était assez grand pour y vivre, mais plutôt juste pour un combat à cinq contre une. Pourtant, la tueuse ne se laissa pas aller à la peur. Après tous, la mort n'était qu'une habitude chez elles. Elles étaient toute nées pour ça, vivre avec la mort pour finir par se reposer dans ses bras. Alors peut importe quant ça arrivera, le plus tard possible, mais en attendant, c'était son travail de la propager. Son devoir. Et elle était ici pour ça, elle le prouva en décapitant un des démons grâce à un couvercle en métal ramassé au sol qui lui servit de frisbee. Mais après la satisfaction et la fierté, elle constata la colère de ses "amis" qui foncèrent sur elle, femelle incluse. Elle tentât temps bien que mal de se protéger des coup qui lui venait de toutes part, mais en vu de l'endroit exiguë, la chose était de plus en plus difficile. Il lui fallait un lieu plus grand. Et c'est ainsi que la traqueuse se retrouvât traquer à son tour. Avec l'épaule déboitée et surement quelques fractures ici et là, elle réussit à s'extirpé des griffes de ses agresseurs et prit la fuite, direction un lieu plus propice. Après divers esquives d'objet non identifier lancer dans sa direction, elle réussie à trainer ses asseyant au plein aire, de nouveau sur les toits. Elle avait de l'avance sur eux, alors elle l'utilisa pour remettre son épaule en place, non sans une certaine douleur qui lui fit légèrement tourner la tête.
Pas maintenant.
Elle connaissait cette sensation. Mais elle n'eue pas le temps d'y réfléchir plus longtemps qu'un poing griffue vint s'écraser sur son visage, l'envoyant valser quelques mettre plus loin. Puis un pied la fit s'écraser contre un mur en brique, dont certaines d'entre elles tombèrent sur la tueuse. Les mal l'entourèrent et prirent un plaisirs non dissimuler à la ruer de coup alors qu'elle était au sol. Plus ils frappaient, plus la noirceur prenait de place en elle et autour d'elle. Tous d'un coup, aucun d'entre eux ne comprirent ce qui se tramait. Un son presque inhumain sortie de la gorge de la jeune femme, un rire emplie de folie, de souffrance et, à contrario, de plaisir résonnait au dessus de Manhattan. Les démons, étonné la fixèrent du regard.
Tuez-là.
La voie de la femelle résonna comme un coup d'éclat. Mais Morrigann savait, au fond d'elle, elle observait déjà la scène comme un regarde une série d'un œil. Il était trop tard. Pour elle, ou peut-être pour eux.
C'est tous? C'est tous ce que vous avez? Pitoyable.
Elle arrêta d'une main le pied qui lui arrivait dessus avant de se relever, branlante, visiblement affaiblie et couverte de son sang. Mais dans le regard dansait comme une étincelle, une folie que même les démons ne semblaient pas comprendre. Commençât alors une dance de coup, une chorégraphie trop souvent partager avec ce genre de créatures. On pouvait entendre les os craquer, se briser, les muscles se déchirer sans réellement savoir à qui il appartenaient. A la tueuse? Ou aux démons? Au deux surement... Mais ce qui était sur, c'est qu'on pouvait l'entendre rire aux éclats à chaque coup. Peut importe qu'elle l'est reçu ou porté. La violence semblait avoir un effets euphorisant sur elle. Et après presque une heure, elle s'écroula au sol, un cœur battant encore entre les mains, tenu sur sa poitrine, comme un doudou auquel on tient que trop. Autour d'elle, les cadavre des démons jonchait le sol.
Merci, c'était franchement cool. J'en avait besoin. On remet ça quant vous voulez... Enfin, quant vous pourrez.
Sont rire retentit de nouveau puis le noir l'envahis. Une sieste, juste une sieste, quelques heures, rien de plus...
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